•• KLEIN; Seona Isla.__she is the one.

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© UNKNOWN

SEONA ISLA KLEIN, PLAYED BY
LINDSAY ELLINGSON

Je me nomme SEONA ISLA KLEIN et je suis âgée de VINGT ET UN ANS. J'ai vu le jour à BUDAPEST en HONGRIE, le DOUZE AOÛT. Je suis HÉTÉROSEXUELLE.

J’aime L’IMPRÉVISIBILITÉ. Ne jamais rien prévoir, ne jamais rien décider à l’avance. N’agir que par impulsions et coups de tête; c’est la seule façon que je juge digne de faire sa vie. Je refuse de me soumettre à une routine et je ne veux pas être prise – surtout aussi jeune – dans une monotonie écœurante. J’aime LE CHANGEMENT. Troquer mes escarpins aux talons vertigineux et aux pris abusifs pour la bouse de vache et les grands vergers ne m’a pas effrayé outre mesure. Je m’adapte sans difficulté à la nouveauté, encore plus, je la recherche constamment. Il est normal qu’après une bonne vingtaine d’années passées dans l’opulence, la richesse et la paresseuse du rêve américain que je souhaite faire quelque chose de différent. Franchement, après une rude journée, une bière est tout aussi appréciée qu’un appletini, et je dois admettre en fausse modestie que je parais plutôt très bien avec une chemise à carreaux sur le dos. J’aime ATTIRER L’ATTENTION. De par mes charmes et ma personnalité, j’ai souvent attiré les regards, et ce n’est pas pour me déplaire. Je parle fort, je parle beaucoup, je n’aime pas ne pas être remarquée. J’aime VOYAGER. J’aime découvrir de nouvelles cultures, populations, mœurs et traditions. Rien ne me fait plus plaisir que de me retrouver dans un endroit qui m’est totalement inconnu, avec pour seule aide mes propres moyens. Je ne me suis jamais habituée au confort qui venait de paire avec mon statut social et j’adore l’excitation que procurent les voyages. Finalement, j’aime LA DÉBAUCHE. C’est étrange à dire, mais j’aime ce mode de vie, cette dégringolade de l’essence humaine, pour se réduire qu’à certains mots lourds de sens et de conséquences. Sexe, drogues, alcool, fêtes, autant de mots qui pour moi, riment avec bonheur et belles soirées. Et de ne pas avoir honte de ce mode de vie quelque peu honteux rends les choses encore plus excitantes.

Par contre, je déteste ME MONTRER DÉPENDANTE. J’ai toujours agis par mes propres moyens, j’ai toujours su me débrouiller, donc lorsque je suis confrontée à une situation où je n’ai pas d’autre choix que de demander de l’aide, je me répugne, je me trouve faible. Je n’aime pas que les gens puissent croire qu’ils sont au-dessus de moi, que je suis une douce fleur qui a besoin d’un protecteur éternel. Je ne suis pas un gentil ange qui a besoin d’être guidé, je me tiens très bien par moi-même, et je déteste me faire rappeler que parfois, j’ai besoin d’aide, que je ne peux pas agir par moi-même uniquement. Je déteste aussi M’ENNUYER. Je ne suis pas de celles qui aiment être paisible par instants, qui recherchent des moments de détentes, pour admirer un paysage ou entendre la pluie tomber. J’aime quand les choses autour de moi bougent, quand mes relations sont éclectiques et difficiles, pétillantes et pleines de rebondissements, j’aime quand mes journées sont mille et une fois chamboulées. Je déteste LES PRÉJUGÉS. Sous prétexte que mon père détient la moitié des casinos du continent américain, que je suis jeune, blonde, jolie et que je porte un certain soin à mes apparences, on me catégorise bien souvent comme une jeune femme idiote qui ne sait pas comment se débrouiller dans la vie sans l’argent de papa et les tailleurs exclusifs d’Armani Privé. Les gens me mettent des étiquettes sans second jugement, et ça me dégoûte. Qu’ils ne prennent pas le temps de me connaître avant de me mépriser, sous prétexte que j’ai réussis dans la vie bien avant la trentaine (si l’on s’accorde sur la définition de la réussite comme étant avoir beaucoup d’argent et de pouvoir, tout en étant heureux). Puisqu’une telle attitude me repousse autant, inutile de vous ajoutez que moi-même, je n’ai aucun préjugé. Je déteste LES ENDROITS CLOS. Autant ils représentent pour moi une absence de liberté que j’ai de sévères tendances claustrophobes. Me retrouver dans un espace restreint me stresse à un point que j’en ai de sévères nausées, ma vision se brouille et j’ai l’impression qu’un étau d’un noir inquiétant se referme sur moi. Finalement, je déteste LES CHEVAUX. En fait, je n’en suis plus tellement sûre… Ils me terrifient autant qu’ils me fascinent, je ne sais toujours pas ce que je ressens vis-à-vis eux. Je n’ai toujours pas réussi à monter une seule de ces bêtes depuis mon arrivée au Ranch, ce qui n’est pas très pratique puisque la majorité des personnes se déplacent ainsi.

MR HELLSING : « Bonjouuuuuuuuuuur ! »
VOUS : « Euh, oui, bonjour. Enchantée, même. »
MR HELLSING : « Alooors ! Nous allons donc pouvoir commencer ! »

Un quart d'heure suite à la sulfureuse rencontre avec un psychologue loufoque (& sado-maso), arrivent les questions dites sérieuses.

MR HELLSING : « Qu'est ce qui vous amène donc ici ? »
VOUS : « Je suis venue ici car j’avais besoin de vacances, de changement de Las Vegas. Bien que j’aie toujours aimé l’effervescence de cette ville, j’avais depuis quelques temps un mal de tête persistant qui ne semblait jamais vouloir partir. Au contraire, il s’intensifiait avec les rumeurs de la ville, continuelles, et les vives lumières qui s’étalaient absolument partout n’aidaient pas non plus. J’en avais assez de cette vomissure de bruits, d’éclats, de dérangements, je ne savais plus comment trouver refuge dans cette folie qui m’avait autrefois autant apaisée. Il fallait que je parte, que je trouve quelque chose de différent. Deux semaines donc après que mon ami Zjak m’ait annoncé qu’il quittait le Nevada pour un désert australien, je l’ai rejoins. Du moins, ce que je viens de vous racontez est-ce que j’ai dis aux gens qui me posaient la même question. Si je devais être sincère avec vous, et moi-même, je suis venue ici pour retrouver Zjak. Je ne pouvais plus supporter de ne plus le voir tous les jours, j’avais la constante impression qu’il manquait quelque chose, quelqu’un. Je ne savais plus comment m’amuser sans lui, je ne savais plus comment être heureuse. Et cet état me rendait malade, car il me prouvait à quel point j’avais besoin de lui, et je déteste avoir besoin de quelqu’un. Mais je devais être réaliste, que je veuille ou non admettre que je puisse être dépendante de quelqu’un, je ne pouvais plus continuer de me laisser aller dans ce drôle d’état qui m’habitait depuis qu’il avait déménagé. Je suis donc allée au Ranch, le rejoindre. Sauf que ceci reste entre nous, compris ? »

MR HELLSING : « Qu'est ce que vous inspire ce ranch ? »
VOUS : « Sincèrement, et cela vous étonnera peut-être, j’adore le ranch. J’aime l’esprit rustique qui y règne, j’ai l’impression de me trouver dans un film de cowboys très réaliste. Il faut dire que j’ai le beau rôle aussi; vous avez sans doute supporté des heures de geignardises des gens qui ne souhaitent pas être ici, et je les comprends, les dirigeants de l’endroit sont exigeants. Mais faisant partit de ceux-ci, je suis moins harcelée, et je peux faire à peu près ce que je veux, tant que je contribue au minimum à la vie du ranch. Mais ce n’est pas un véritable labeur pour moi, les tâches me plaisent, surtout qu’elles sont exécutées en bonne compagnie. Je suis en effet tous les jours avec Zjak, et je me suis rapidement liée d’amitié avec sa sœur, Aileas. Quant à Zéphyr, le cousin de Zjak, je ne le connais pas beaucoup encore, mais je n’ai rien à redire sur lui pour l’instant. Finalement, j’aime aussi les alentours du ranch, le désert et ses mille et uns secrets, mais aussi Sidney, Ballarat, je découvre peu à peu cette région de l’Australie, et j’adore ce voyage. »

MR HELLSING :« Je vois, je vois... Et en ce qui concerne votre passé ? Votre enfance ? Adolescence ? Vos relations ? Une anecdote ? »
VOUS : « Mon enfance fut joyeuse, bien que je fusse élevée par une mère légèrement folle et un père souvent absent. C’est de ces absences que j’ai acquis mon indépendance, mais malgré leurs défauts, mes parents m’aiment beaucoup tous les deux et ont toujours veillés à ce que j’aie une éducation irréprochable, ainsi qu’une ambiance confortable à la maison. Nous avions énormément d’argent, et aujourd’hui, nous en avons tout autant, sinon plus. Je ne me suis cependant jamais laissé tenter par le statut de riche héritière, je ne voulais pas être connue que par mon nom – celui de mon père – je voulais faire mes propres preuves. C’est peut-être pour ça que je n’avais qu’une petite quinzaine d’années lorsque j’ai commencé ma descente vers la débauche; néanmoins, mes relations en restèrent indemnes. La plupart de mes amis suivaient le même chemin et mes parents ne jugeaient pas mon attitude honteuse ou quoi que ce soit. Ils me laissent prendre conscience de mes actions et me laissent leurs entières responsabilités. J’avais leur bénédiction tant que je me montrais suffisamment mature pour accepter les conséquences de mes actes. Ils me lassèrent venir en Australie sans poser trop de question, ils aimaient sans doute l’idée que je prenne mon envol, à vingt et un ans, ce n’est pas trop hâtif. »

•• KLEIN; Seona Isla.__she is the one. P60lj

© UNKNOWN

Eh ben moi c'est ALEX, plus connu sous le pseudo de LEXIE. Je suis en réalité âgé de DIX-SEPT ANS. Au passage, je voudrais comme rang :

Citation :: VIXEN •• not quite an angel

Ah, et puis, oui, j'ai bien lu le règlement !

•• KLEIN; Seona Isla.__she is the one. 416404

Invité

OH MA CRACOOOOTTEEEE :teeuuplé:

Merci beaucoup Aileas ! coeur*

CRAQUELIN DE MON COEUR ! Heart

Merci beaucoup ! Heart

Je tenais simplement à souligner, par contre, Budapest n'est pas en Autriche. Puis-je donc dire que Seona est née en Hongrie ?

*Ou l'art de s'emmêler les pinceaux avec les pays européens.*

Haha, oki parfait. :020:

Invité

Bienvenue =)

Merci !

Voilà, je crois avoir terminé. J'ai consicence d'avoir fais la fiche rapidement, donc si vous trouvez quelque chose à redire, ou si vous la jugez incomplète, je ferais les changements sans problèmes. Smile

» SEONA&ZJAK « the unspoken »
» SEONA - Moi je joue, je joue à joue contre joue.