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| Sujet: Phyllis Violet Brown " A trop ce donner, on s'abandonne " 100% Mer 15 Juil - 17:02 | |
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(c) Grumpy Crumpet KEIRA KNIGHTLEY | Je me nomme PHYLLIS VIOLET BROWN et je suis âgé(e) de VINGT-ANS. J'ai vu(e) le jour à GALWAY en IRLANDE, le VINGT-ET-UN AOUT. Je suis HETEROSEXUELLE.
Alors j'aime LA MER. Si si je vous assure. J'adore cette immense étendu d'eau, venant d'horizon lointain. Je n'ai jamais réellement compris ni comment, ni quand celle ci était apparu après tout je m'en fou un peu. Juste, j'aime ce grand horizon bleu, c'est beau, c'est pure, c'est naturel, c'est apaisant ... C'est tout moi. D'ailleurs pendant un bon moment j'ai fait de la natation, depuis petite l'eau et moi ne faisons qu'un. J'étais dans un grand club de ma ville, un club très prisé d'Irlande. De la chance, oui, ont peu dire que j'en avait, beaucoup même. LES SIMPSON. ne me demander ni pourquoi, ni comment je suis devenue fan, sa remonte à tellement longtemps que moi même je ne m'en souviens plus. Les Simpson et moi c'est toute une histoire. Je ne peut pas m'endormir sans mon épisode, c'est complètement con me direz vous mais c'est comme sa. LE NUTELLA. Ahan qu'est ce que j'aime sa ! C'est un peu comme ma drogue j'en mangerais matin.midi.soir ! Mais non, il ne faut pas, à moins que mon rêve le plus fou soit de ressembler a MR Bidendaum , le nutella reste donc pour moi comme un alcool, à manger avec moderation. ...
Par contre, je déteste FRUITS & LÉGUMES. Même pour 1 000 000 $ je n'en mangerais jamais de ma vie. Sa parait peut être bizarre mais bon je suis comme sa, l'odeur, la texture, le gout ... Mon Dieu quel horreur ! Rien que d'en parler sa me répugne. PIZZA. Sa non plus vous ne m'en ferais jamais mangée. Je déteste, mon père non plus n'aimez pas, c'est surement de famille. Les gens trouve sa limite \\" fait exprès\\", mais pourtant c'est bien réel, je n'aime pas. Vous me direz, c'est vrai que c'est tellement rare une personne qui n'aime pas les Pizzas c'est un peu comme une personne qui n'aime pas le Nutella ou le Coca Cola. LES MECS IMBERBE DE POILS. En principe c'est plutôt l'inverse, la plupart des femmes préfère les hommes sans poil, et bien j'en suis l'exception même ! Je déteste les hommes imberbe, j'aime le viril, j'ai mes limites tout de même, mais cela n'empêche qu'une homme tout rasé sa ne me plait pas, au contraire, sa me fait penser a un garçon plutôt qu'a un homme, un tue l'amour simplement. ...
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MR HELLSING : « Bonjouuuuuuuuuuuuur ! » VOUS : « ... » MR HELLSING : « Alooooors ! Nous allons donc pouvoir commencer ! »
1 quart d'heure suite à la sulfureuse rencontre avec un psychologue loufoque (& sado-maso), arrivent les questions donc sérieuses...
MR HELLSING : « Qu'est ce qui vous amène donc ici? » VOUS : « Pourquoi cette question ? Vous connaissez la réponse je présume . Bon d'accord. J'ai commencée la natation il y a 14 ans, j'avais à l'époque 6 ans. Tout s'enchaîna drôlement vite en faite, toutes les piscines privées demander a avoir Mlle Phyllis Brown dans leur club etc. J'etais petite, je n'avais pas encore droit à la parole, mais parents décidés de ce qui était le mieux pour moi , mon avis leur importer peu. J'atterrissais dernièrement dans un club très prisé d'Irlande, et comme dans tout sport reconnu, mon entraineur n'hésita pas, à un moment ou ma fragilité était à son plus haut niveau, à me faire prendre ces saloperie de médocs dopant. Au début, je n'étais pas trop d'accord, mais avec la pression, les compétitions, je n'eus pas vraiment le choix. Sauf que justement, quand on croit que tout est beau, tout est bien, tout est au mieux, on ne voit pas ce qui ce passe à l'extérieur, on ce fait vite marcher dessus. Mes parents, je ne sait ni comment, ni quand , s'en sont rendu compte. Et me voilà ici, contre mon grès ! Après tout ce n'était pas de ma faute ! Dans l'histoire c'est moi la victime . Donc voilà, en gros je suis là, parce que je suis soi-disant " Une accro aux stupéfiant " Que Neni ! Je suis normalement constitué et accros à aucun stupéfiant, mais vis à vis de mes parents, sa passe comme dans l'oreille d'un sourd. »
MR HELLSING : « Qu'est ce que vous inspire ce ranch? » VOUS : « A la base je suis là par contrainte, ce n'est pas de mon plein gré. Il est vrai que la première fois que j'ai vue le ranch je suis restée assez stupefaite par la beauté de l'endroit. Même si je n'ai jamais voulu atterrir ici, je prend cette aventure comme une seconde chance, un départ pour une nouvelle vie. Il faut que je passe à autre chose. Je m'attendais, en arrivant ici à un endroit assez sombre, sans aucune joie de vivre. Mais il faut l'avouer, je me suis bien trompée. Cet endroit est vraiment magnifique, de plus je suis là pour une histoire de dopage chose à laquelle je ne suis pas du tout accro donc il est plus facile pour moi de vivre avec sa. Comparer à certains membres, je suis plutôt contente du voyage, je ne connaissais pas l'Australie, raison de plus pour être aux anges: J'aime ce Ranch, et je démarre une nouvelle vie ! »
MR HELLSING : « Je vois, je vois... Et en ce qui concerne votre passé? Votre enfance? Adolescence? Vos relations? Une anecdote? » VOUS :
[justify]« Once Upon A Time »
Papa: N'ai pas peur Phyllis . Sa ne fera pas mal. Phyllis: J'ai pas envie ... Sa fait mal, je t'en supplie, on joue a un autre jeu mais pas celui là. Papa: Mais non ma puce, tu verra sa sera mieux que la dernière fois. Il ne faut pas faire de bruit, maman pourrait entendre et si elle entend, tu sera punit, elle t'enfermera dans la chambre et tu n'aura plus le droit de jouer. Phyllis: Mais ... J'ai mal papa. Papa: Mais non ... Tait toi!
Une fois, Deux fois, Trois fois ... Plus Jamais il ne me fera mal. Plus Jamais il ne me fera pleurée. Plus jamais il ne recommencera. Des paroles, justement seulement des paroles en l'air. Plus d'une dizaine de fois je l'ai aient entendu, et plus d'une dizaine de fois il a recommencer. Mais je ne pouvais rien dire, je ne pouvais me débattre, ni même en parler à qui que ce soit. Je n'avais que 6 ans. 6 ans ou 18 pour lui c'était pareil. Il ne s'en lassait pas. Il prenait un plaisir fou à me voir souffrir, j'avais beau lui dire d'arrêté, il n'entendez pas. Sourd de ces cris de plaisir, Noyer par mes pleurs incessant. 5 ans de douleurs, 5 ans de souffrances mais 9 ans de silence, 6 ans de séance de psy. 9 ans c'est le temps qu'il a fallut à un psy pour me faire parler. Je ne voulais pas, je n'avais pas le droit de parler de sa à qui que ce soit.
Psychologue: Mme Brown. Entrer je vous en prie. Maria Brown: Bonjour, vous avez demandez à me parlée ? Psychologue: Effectivement. Quels sont les rapports qu'ont Phyllis et votre mari ? Maria Brown: Eh bien, ils s'entendent assez bien, Jake adore sa fille, il passe beaucoup de temps avec elle, un vrai papa poule. Psychologue: Vous n'avez rien remarquer de spécial entre eux ? Maria Brown: Que voulait vous insinuez ? Psychologue: Mme. Votre mari abuse de votre fille. Maria Brown: Pardon ? Qu'est ce que vous me racontez là ? Psychologue: Phyllis, tu peut parlée, ta maman est là pour t'aider, moi aussi. Phyllis: Il... Il me disait de rien dire. De me taire, de ne pas pleurer, de ne pas crier. Il me disait aussi qu'il ne le referait plus jamais. Jamais. Mais c'était faux, il a toujours continuer. J'avais 6 ans. Je ne comprenait pas ...J'etait petite, je croyait que ce qu'il disait, ce qu'il faisait était normal.
« Un jour je serais championne de natation »
Depuis l'age de 6 ans, je suis inscrite dans un cour de natation. La natation est, et a toujours était pour moi, une extériorisation de mes souffrances. J'ai souffert durant mon enfance, mais c'est la natation qui ma pour ainsi dire, sauver la mise. Ce rêve me hante depuis ma plus tendre enfance, mais mes parents, du moins ce qui me sert de père a toujours était contre sa. De toute façon, a part de son plaisir personnel, mon paternel était contre tout ce qui pourrai me rendre heureuse. L'école ce n'était pas mon fort non plus:
Maman: Phyllis Violet Brown ! Dans la cuisine ... Tout de suite ! Phyllis: J'arrive, j'arrive !
Quand ma mère m'appelle par mon matricule au complet, cela ne pressage souvent, rien de bon.Qu'avais-je put bien faire de mal encore ? J'arrivai péniblement dans la cuisine, ma mère était assise, mon père debout. De toute façon, quoique je dise, quoique je fasse, ce n'est jamais assez bien pour eux. Mais parents son vieux jeu. Il ne ce satisfaissent que du parfait, le Assez Bien ne fait pas partie de leur vocabulaire. Rien qu'à les écoutaient, il fallait que je soit parfaite, le modèle de la famille... Plus facile à dire qu'a faire . Ce jour là, mon bulletin scolaire venait d'arriver, et toujours le même discourt était à l'appui " Phyllis ne travaille pas assez". En faite, c'est ce genre de commentaire déplacé qui avait tendance à mettre mes parents en rogne.
Maman: Ne travaille pas, Discute en cour, dérange ces camarades et je cite: Dors en classe ! Mais qu'ai je fait au Bon Dieu pour avoir une enfant comme toi ! C'est ton avenir que tu joue là Bon sang ! Quand va tu te mettre enfin au travail ??
Et voilà, une fois n'est pas coutume, elle criait. De toute façon elle ne savait faire que sa. Et tout ce monde pour un bulletin scolaire qui, entre nous soit dit, n'était pas si terrible que sa !
Phyllis: Maman, ma petite maman ! Ne t'énerve pas autant, tu va finir par nous faire une crise cardiaque !
Papa: Phyllis combien de fois t'ai je dit d'arrêter ce sourire narquois et cette ironie chronique ?! Tu n'a vraiment pas de quoi être fière de toi. Une honte ! La honte de la famille ! Ah si ta mère m'avait écouter, tu serait en pension, et ce, depuis bien longtemps déjà !
Et les voilà partie dans une dispute. Sa ne change pas vraiment de mon quotidien. Mais comment voulait vous être si parfaite, quand chaque jours, à chaque repas, chaque heures on vous met une pression terrible, on surveille vos actes, vos dires et on prend des décision à votre place au sujet de votre avenir ? De toutes façons, quoiqu'ils disent, quoiqu'ils fassent, je n'obéirai pas. Je ferais ce dont j'ai envie, et ce dont je rêve depuis toujours et ce, même si ils ne sont pas d'accord.
Un jour, je serais championne de natation .
« Vierge un jour ... Vierge toujours ? Non non quand même pas =)»
Il s'appelait Brodie. Il était beau, il était gentil, il était doux, il était sensible, il était calin, il était protecteur, il était rigolo, il etait souriant, il était mignon, il était sage, il etait fidèle, il m'aimait .... Enfin il m'aimait mais pas plus que sa libido. Notre histoire débuta lorsque j'avais 14 ans, j'etais jeune, belle, et surtout naïve, très naïve. Pendant les 12 premiers mois, tout ce passait pour le mieux, il disait m'aimait, je l'aimais en retour. On ce voyaient le week end, on passaient nos vacances ensembles à regarder les saisons indéfinissable et indémodable des Simpson. Le grand amour avec un grand A. Du moins c'est ce que je croyais. Mais un homme reste un homme. Il voulu plus, beaucoup plus. Mais avec ce que j'avais endurée étant enfant, je ne voulais plus, du moins pas maintenant.
Brodie: Allez ma puce, fait moi plaisir ! Un aller-retour juste sa! Phyllis: Non Brodie ! Je ne veux pas. C'est pas difficile à comprendre si ? Brodie: Mais putain Phyllis tu m'aime oui ou non ? Phyllis: Oui je t'aime Brodie Elias Hudson mais je ne suis pas prête encore à le faire . Brodie: T'es qu'une egoiste tu pense qu'a toi, tu t'en fou de ce que moi je peut ressentir. Phyllis: Non arrete, tu sait trés bien pourquoi je ne veux pas ! Si t'es pas assez intelligent et amoureux de moi pour comprendre alors je ne te retient plus .
Effectivement , il n'était pas amoureux de moi et encore moins intelligent. J'avais pleurée toutes les larmes de mon corps et ce, pendant plus de 2 mois. Mais c'était envers et contre moi. Je ne pouvais pas. Je n'arrivais pas. Du moins pas maintenant. Peut être plus tard ...
(c) Madame-E |
Eh ben moi c'est NOELLIE, plus connu sous le pseudo de NONO. Je suis en réalité âgé de 18 ANS. Au passage, je voudrais comme rang : WEARY GIRL IN A VERY VERY WEARY WORLD. Ah, et puis, oui, j'ai bien lu le règlement !
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Dernière édition par Phyllis Violet Brown le Jeu 16 Juil - 14:03, édité 4 fois |
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