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 Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.

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Sasha Elizabeth Rochester

Sasha Elizabeth Rochester


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TATOUE MOI !
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Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Empty
MessageSujet: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 20:04


    Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. 1znpq2g
    (c) WOODY PEPPER
    MIRANDA KERR

      Je me nomme SASHA ELIZABETH ROCHESTER et je suis âgé(e) de 19 ans. J'ai vu le jour à LONDRES en ANGLETERRE, le 3 NOVEMBRE 1989. Je suis LESBIENNE.
      J'aime les femmes. Je l’avoue et le clame au et fort. Autre que les préférences de ma libido, je suis quelqu’un qui apprécie le confort et le luxe, malheureusement pour moi ce brin ne doit pas venir de moi mais être un unique héritage que j’ai reçu de mes parents qui ont toujours apprécié les grands espaces, comme le montraient si clairement nos maisons gigantesques. Ne venant jamais à manquer d’argent, je connus dès mon plus jeune âge certains lieux que beaucoup de personnes pourraient m’envier, après tout j’étais une « princesse » anglaise, cousine d’un prince important décédé, ma famille était devenue la seule et l’unique héritière d’un trône que nous n’avons jamais voulu reprendre, préférant la discrétion aux lumières de gloire sur les feux de la rampe. Tête et bornée depuis toute petite, la liberté m’a toujours semblé avoir un goût duquel je ne pouvais point me lasser, je me débrouillais pour battre seule de mes ailes ne souhaitant pas que mes parents se mêlent de ma vie pour réussir ce que je souhaitais ardemment. Je n’ai jamais craché sur un bon livre, ni sur le dessin, un de mes plus secrets talents. Je me souviens m’être cachée de nombreuses fois, un crayon gras sous les dentelles de ma robe, la feuille à dessin glissée sous l’élastique de ma petite culotte, pour monter au grenier d’une de nos maisons de vacances au sud de l’Angleterre et passer une heure à esquisser des ébauches de paysages qui s’étendaient sous mes yeux de gamine émerveillée.
      Par contre, je déteste
      Le manque d’hygiène. Qu’on soit d’accord, je ne suis pas une maniaque du ménage mais franchement avec un climat tel qui s’abat sur le pays vous croyez sérieusement que c’est confortable d’avoir les particules de poussière qui s’accrochent à votre peau, que vous ne puissiez pas vous asseoir quelque part de peur de salir votre jean ? De même qu’on n’essaye pas de me dicter ma conduite, si c’est une chose que je ne peux pas voir en peinture c’est bien le diktat d’autrui. Ajoutons le fait, que je l’avoue avec honte, mais je n’aime pas me salir mes mains (a) je préfère qu’on le fasse à ma place ! Cependant cela ne signifie pas que je sois une parfaite feignante qui délaisse tout ce qu’on lui donne à faire.


    Cachée derrière le maigre feuillage des plantes vertes de son bureau, la vieille dame, sous la monture dorée de ses lunettes, me scrutait avec une curiosité à peine voilée. Ses petits yeux faisant des allés retours entre ma tenue et mon visage aux fins traits. Elle se trahissait, parfois, lorsqu’elle rencontrait mes prunelles azurs froides et détachées qui semblaient planer bien au-dessus de sa conception de la vie. Sans même avoir besoin de croiser son regard je le sentais, inquisiteur, courant sur ma peau dénudée par la longue robe couleur feu que je portais ce jour là due à la chaleur quasi insupportable qui s’était abattue sur le pays, frôlant les 40°. Cette dernière, empêchait les plus prudes de se masquer derrière les piles de vêtements amples et lourds, ce n’était point mon cas, au contraire, j’affectionnais le regard des autres sur mes courbes, étant coquette et narcissique sur les bords, le regard de l’autre m’importait bien plus que je n’osais l’avouer publiquement. Néanmoins, avec le fil des années, le goût d’être regardée c’est égoïstement envolé ; ne laissant qu’une vide amertume de s’être détaché de cette réalité, sans plus arriver à prendre pied et à constater l’évidence : je n’étais pas seulement vue mais, admirée. Mes prunelles avaient beau narguer les regards les plus sombres et les plus joyeux, mon attention peinait à s’accrocher sur quelqu’un, j’étais devenue lunatique contre gré, si cela avait ces défauts, être aussi détachée des autres me permettais de bâtir une certaine protection contre autrui, pour moins souffrir à la prochaine offensive. Etant une femme enfant, je n’avais que trop de dangers à croiser et à me relever, j’étais assez forte pour me relever, mais la peur d’être blessée m’empêchait d’être aussi courageuse. Mes amies se méprenaient lorsqu’elles croyaient que je ne voulais point être en couple, au contraire l’amour m’avait toujours fasciné par sa force destructrice et aveugle, néanmoins, incapable d’assumer de devoir souffrir je butinais d’un homme à l’autre, cela pouvait durer une nuit ou une semaine mais jamais plus.
    Pour en revenir à cette bonne femme qui tentait de tuer l’ennui du temps comme elle pouvait, elle m’interpella pour m’introduire dans le bureau du fameux psychologue qui devait me recevoir pour établir mon profil et autres détails pour le fameux ranch dans lequel on devait m’envoyer. Sans plus de commentaires, je m’étais levée avec grâce du malheureux fauteuil, bien trop âgé pour être confortable, abandonnant la salle d’attente mais laissant derrière moi une fluette odeur de lavande qui n’était autre que ma senteur. Une fois installée dans le cabinet sobre de l’expert, on nous laissa seuls pour l’entretien, sans fuir son franc regard je laissais mon regard s’accrocher au sien, les jambes croisées et les épaules détendues, parfaitement calme et maître de moi-même, je savais que je devais réussir cet entretien malgré mon aversion pour la démarche, après tout c’est ce qu’on attendait de moi et comme toujours je devais me montrer digne de mon ridicule titre de princesse.

    MR HELLSING : « Bonjouuuuuuuuuuur ! »
    VOUS : « Bonjour. »
    MR HELLSING : « Alooors ! Nous allons donc pouvoir commencer ! »

    Un quart d'heure suite à la sulfureuse rencontre avec un psychologue loufoque (& sado-maso), arrivent les questions dites sérieuses.

    MR HELLSING : « Qu'est ce qui vous amène donc ici? »
    VOUS : « Si vous vous attendez à ce que je vous fasse l’intégrale narration de mes périples, vous êtes un beau rêveur. Seules les grandes lignes de mon histoire vous connaîtrez et cela sera largement suffisant pour que vous puissiez établir un parfait profil de ma « folie » et de ma psychologie, de toute manière ce qui fera changer la donne c’est le montant du virement bancaire. Mon seul tord a été d’avoir une sexualité gênante pour une grande famille qui doit tenir une image exemplaire de son rang et de son titre. Une princesse ne peut se résoudre à tomber dans les délices de formes pulpeuses et attrayantes d’une femme, frémir à la sensualité d’un corps féminin ou encore goûter au contact d’une exacte présence d’un être qui vous ressemble, il est évident qu’une personne telle que moi, doit se borner à suivre du doigt les formes athlétiques du corps félin masculin, de jouer avec des mèches de cheveux coupés courts et enfin, de réaliser avec prouesse la fameuse gâterie qui cambre le corps peu souvent abandonné à ses sentiments et laissé vulnérable à cet instant si suprême. En réalité, je n’avais aucune raison de fouler le sable australien et d’attraper des coups de soleil sur les épaules, le visage et les jambes. Néanmoins, lorsque mes parents apprirent l’exacte vérité de ma bouche, l’atmosphère de la maison était tellement lourde que lorsque l’on trouva de la blanche colombienne entre de piles de mes vêtements je ne tentais pas de sauver ma réputation, je m’étais doutée que d’une façon ou d’une autre ils me mettraient dehors, ne supportant point la simple idée que leur fille en embrasse une autre. C’est ainsi que je devins la junkie de service puisque fêtarde dans l’âme je m’en allais souvent en soirées, l’idée qu’un simple pétard ait pu passer entre mes doigts n’étonna personne et mon entourage prit pour argent comptant les bruits de couloirs qui courraient sur ma personne. C’est ainsi que je me présentais au bureau de M. machin, comme une droguée.»

    MR HELLSING : « Qu'est ce que vous inspire ce ranch? »
    VOUS : « Certains le voient peut-être comme le minuscule point lumineux qui se trouve à la fin du tunnel de la délinquance, d’autres comme une prison. Personnellement, cet endroit me laisse indifférente malgré le goût amer de l’injustice qui reste ancré sur ma langue qui ne cesse de claquer d’agacement lorsque l’infime souvenir de la véritable raison qui me pousse à être ici, effleure mon esprit. J’avoue être un peu rebutée par l’obligation d’être entourée par la sauvagerie australienne, le manque de civilisation mais également l’omniprésence de toutes sortes de bêtes dangereuses qui rôdent proches mais qui n’osent pas s’approcher du ranch. D’autre part, si vous comptez sur le fait que je ferais les box, nourrirais les animaux ou que sais-je vous vous mettez le doigt dans le nez, n’étant pas du genre a crier pour un ongle cassé je ne peux quand même pas supporter d’être crasseuse et pleine de sueur. C’est sûrement une expérience qui me fera évoluer néanmoins y être forcée n’est pas ma tasse de thé. Je ne vais pas me barrer dès que je le pourrais cependant je ne compte pas rester plus de quelques mois. »

    MR HELLSING : « Je vois, je vois... Et en ce qui concerne votre passé? Votre enfance? Adolescence? Vos relations? Une anecdote? »
    VOUS : «Son regard impénétrable fut maqué par une floue lueur de doute, arquant un sourcil perplexe, elle hésita un quart de secondes avant d’être certaine de sa décision. Un dernier regard porté sur l’homme et son visage rond, elle se leva et alla se poster à la fenêtre la plus proche du bureau. Son front alla se coller contre la froideur du verre tandis qu’une de ses jambes alla nonchalamment se poser sur le rebord en bois. Un soupir, puis deux et enfin sa langue se délia, brisant le bref silence qui s’était installé.

    Notre histoire commence un jour ensoleillé du mois d’Août sur la côte d’Azur en France.
    La silhouette qu’on aperçoit sur la plage avec pour seul vêtement en plus du maillot de main qui dessine à merveille les courbes d’une fine silhouette, un paréo dont la couleur était identique à celle du couché de soleil que la même personne contemplait derrière les verres teintés des Ray-ban finement posés sur son nez. Les vagues s’écrasant avec fureur sur les rochers, le spectacle était superbe, l’air frais, on aurait pu se méprendre en envisageant qu’il s’agissait d’une scène pour un film quelconque, néanmoins ce n’était rien d’autre que la réalité. Aucun prince charmant n’était arrivé comme par magie, seule une femme plus âgée qui promenait son chien au loin peuplait le rivage avec l’autre jeune femme. La jeune anglaise décida enfin de plier les jambes et de s’asseoir là, à cet endroit et laisser vagabonder son regard sur la houle blanche. Son esprit, torturé, tournait à plein régime, ses idées se contredisaient, rien sur son visage paisible ne le démontraient à part la blafarde ride qui sillonnait l’espace entre ses deux sourcils. Sasha se remémoraient d’un sujet de discussion qu’elle avait eu la veille avec son petit ami du moment. Ils s’étaient allongés sur l’herbe bien taillée d’un des parcs de la ville, elle dans ses bras, lui protecteur et profiteur avait laissé ses lèvres s’égarer sur le cou de la jeune femme. Murmurant au creux de son oreille il avait prononcé les paroles bannies :
    Lui : « Dis, tu m’aimes ? »
    Elle : « Et toi tu m’aimes ? »
    Lui : « Oui »
    Elle : « Bah tant mieux pour moi alors »
    Lui : « Sasha je viens de te dire que je t’aimais … »
    Elle : « Hum… merci. »
    Il s’était détaché d’elle, le regard ahuri avant de la planter là et s’en aller furieux. Non pas qu’elle ne savait pas à cet instant précis là le fait qu’il était précieux de lui retourner la formule à trois mots néanmoins quand il lui avait déclaré sa flamme, elle était restée insensible, son cœur n’avait pas bondi dans la poitrine dangereusement, son souffle ne s’était en aucun cas coupé et un sourire béton ne s’était pas installé sur ses lèvres pulpeuse. Il aurait pu tout autant dire : « je vais acheter du pain » cela aurait fait le même effet. Elle ne comprenait pas cette insouciance de sa part, d’autres filles auraient tué pour être à sa place, un copain mignon qui en prime était un romantique dans l’âme qui embrassait bien et était entreprenant. Et pourtant la demoiselle refusait de lui céder une place dans son lit encore intact, de frémir à ses baisers les plus intenses et répondre à la déclaration de sa flamme. Elle ne se comprenait point, qu’est-ce qui ne tournait pas rond chez elle ? Vous pourriez répliquer et dire : « c’est le mec, c’est pas le bon », elle vous répliquerait avec une moue ironique « dans ce cas j’ai très mauvais goût puisque toutes mes conquêtes me laissent dans le même état .» Une pensée trouble vint chasser ce nuage gris de remords, elle se souvenait parfaitement du jour, où elle était tombée sur un des magazines de son frère et du trouble peu commun qu’elle avait ressenti. Son malaise ne venait pas de sa sensibilité, au contraire, elle s’était attardée sur les courbes, certes plastiques, généreuses des bombes sexuelles qui s’exposaient généreusement. La douce candeur qui avait fricoté le bas de son ventre et l’étrange lumière d’excitation qui l’avait prise à cet instant là, l’avait poussée à rejeter le magazine loin de son regard curieux, elle avait tourné les talons avec un empressement peu commun et s’en était allé pour griller sa première cigarette. Est-ce que sa voulait dire que … ?
    Redoutant de terminer sa phrase, la jeune femme se leva comme un piquet du sable et reprit sa marche tentant de s’échapper de toutes ses pensées qui guettaient le moindre faux pas de son self control, dans sa tête elle chantait une comptine dans le but de ne pas penser… »


    Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzd
    (c) Madame-E


      Eh ben moi c'est Stéph', plus connu sous le pseudo de Luso. Je suis en réalité âgé de 17 ans. Au passage, je voudrais comme rang : je sais pas encore -_-. Ah, et puis, oui, j'ai bien lu le règlement !


Dernière édition par Sasha Elizabeth Rochester le Mer 29 Juil - 17:37, édité 14 fois
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Dixie Lysbeth Hamilton

d i x i e ●● are you better than me?


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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 20:08

bienvenue sur la fow!
bon courage pour ta fiche x)
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Sasha Elizabeth Rochester

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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 20:12

Merci bien ^___^
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Zjak Saëns Owen

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Zjak Saëns Owen


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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 20:21

    Bienvenue, bonne continuation. (:
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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 20:30

Merci =]
je préviens que ma fiche sera un peu longue car ma connexion fonctionne quand il fait beau limite -_- mais je me dépêche ^^
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Aileas Erin Owen
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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeJeu 23 Juil - 21:47

    Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche =)
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Jacinthe Lou Delacour
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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeVen 24 Juil - 1:11

    Bienvenue & bon courage (:
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Sasha Elizabeth Rochester

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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeVen 24 Juil - 15:36

merci bien ;D
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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeDim 26 Juil - 20:28

Suite aux problèmes d'édition à cause de mon ordinateur, la fiche ne sera terminée que le 31 juillet (un admin a été prévénu)
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Zjak Saëns Owen

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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeMer 29 Juil - 18:07

    Eh ben t'as réussie à la finir avant dis-moi (x

    VALIDÉE Heart
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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitimeMer 29 Juil - 18:10

Merci ^____^
J'ai simplement changé de mode d'édition XD
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MessageSujet: Re: Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie.   Quelques années de sa vie ont suffi à la changer en junkie. Icon_minitime

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