NEVADA • I\'m your kind of girl on the bed.

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(c) MISERY ANGEL
Taylor Warren

SVENSSON Nevada

Vingt-deux ans

Oslo

Norvège

21 mai

Hétérosexuelle en principe mais mon chemin peut tout aussi bien changer de sens à n'importe quel moment.

la drogue

Les hommes vaniteux.

$NEVADA • I\'m your kind of girl on the bed. Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzd$
(c) Madame-E

Eh ben moi c'est AURORE, plus connu sous le pseudo de BBH. Je suis en réalité âgé de SIXTEEN. Au passage, je voudrais comme rang : LE RANG QUE VOUS VOULEZ. Ah, et puis, oui, j'ai bien lu le règlement !

Code:: NEVADA • You belong to me

MR HELLSING : « Bonjouuuuuuuuuuur ! »
VOUS : # regardant ailleurs, puis prend une bouffée de sa clope. Pose son regard dévastateur sur le psychologue. #« Je pensais que vous étiez nettement vieux. Comme quoi un peu de sang neuf ne fait pas de mal. Bonjour. C'est bien la première fois que je vois un psy, et déjanté. Je pense peut-être que je vais vous révéler beaucoup de choses.»
MR HELLSING : « Alooors ! Nous allons donc pouvoir commencer ! »

Un quart d'heure suite à la sulfureuse rencontre avec un psychologue loufoque (& sado-maso), arrivent les questions dites sérieuses.

MR HELLSING : « Qu'est ce qui vous amène donc ici? »
VOUS : « J'avais besoin de changer d'air. On raconte qu'il ny a rien de mieux que la campagne pour faire des galipettes dans le foin. Vous avez déjà essayez ? Plus sérieusement, bon et bien disons que je suis en quête de bien-être et j'ai donc l'intention de le trouver ici, de me faire plaisir. »

MR HELLSING : « Qu'est ce que vous inspire ce ranch? »
VOUS : « Quand je l'ai vu je me suis dit que j'allais bien m'amusée, il y plein d'endroit sombre et propisce pour certaines choses; En plus j'aime les animaux, je trouvent qu'il n'y a pas meilleur compagnon et c'est plus fidèle qu'un homme. # prend une légère bouffé et la souffle dans le visage du psy # Du moins il y a beaucoup d'autres choses... »

MR HELLSING : « Je vois, je vois... Et en ce qui concerne votre passé? Votre enfance? Adolescence? Vos relations? Une anecdote? »
VOUS : « Mon passé, je vois que vous voulez aller au plus profond de vos patients Mr Hellsing. Je n'ai jamais révélée à quiconque une partie de ma vie et ce n'est pas à vous que j'irai le dire, même si vous êtes tenu par le secret professionnel. Parce que vous serez tellement touché par mon histoire que la pitié vous prendra. Et je ne réclame aucune pitié venant de votre part. Le passé n'est pas fait pour qu'il refasse surface dans le présent. Si on qualifie cela de passé c'est à dire qu'on ne doit pas y revenir. Mes relations ? J'en ai beaucoup, beaucoup d'hommes un peu votre genre déluré et sado sur les bords. Avouez que je vous fais de l'effet ne dites pas le contraire, votre pantalon parle tout seul. Je n'ai jamais connu l'amour, du moins à croire que j'ai été sevré pour ne rien ressentir. Cependant il y a bien une personne qui à su mérité ma confiance c'est Zjak. Même si j'avoue que certaines fois je ne pensais pas qu'a lui amicalement, je pense qu'aujourd'hui c'est fini. Ma confiance entre les hommes est très restreinte, ils ne sont bon qu'au lit et cela peut suffir. Bon puisque vous me faites les yeux doux et vous semblez sympa peut-être un petit truc, histoire que ce soir vous dormiez tranquille. Mon père à quitté ma mère lorsque j'avais 14 ans et elle tomba dans la débauche pour s'en sortir. Tellement désenparée que mon père l'ait quittée, elle tomba plus bas que terre. Elle avait de quoi à peine nous nourrir. Au début elle faisait sa pour moi, puis tellement qu'elle y prit, elle m'oublia. Un beau jour un client est venu à la maison, il m'avait déjà vu et il était venu pour moi et pas pour ma mère. J'avais beau lui dire qu'elle n'était pas là, ses émeraudes me fixaient comme si j'étais un objet qui devait être en sa posséssion. Alors il me viola, j'avais beau crier, le frapper rien n'y faisait. Ensuite il me laissa là, débrailler satisfait de son résultat. Je partis alors de la maison coupant tout contact avec ma mère. Je devins alors un peu autodidacte, m'élevant seule. Puis je remontais la pente en faisant quelques boulots de caissières. La famille n'était pas faite pour moi. Je n'ai jamais eu l'amour d'un père et d'une mère. J'ai grandie, mais difficilement, je ne voulais pas aller à l'assistante sociale, je n'arrivais pas. J'ai trouvé que m'élever était un bon moyen pour oublier le mal qui m'a été fait. Parfois j'aurais aimée n'être jamais sortie du ventre de ma mère. A croire que j'étais un accident pour elle, je me suis même demandée pourquoi elle m'a gardée. Quand je me balade dans la rues et que je vois tous ces bambins embrassant leur mamans, j'ai un pincement au coeur. Seulement je me suis condamnée toute seule en n'allant pas trouver refuge, tout ça pour ne pas me faire du mal, pour ne plus souffrir. »